(Le français suit)

In March, the Fifth session of the United Nations Environment Assembly gathered in Nairobi bringing together member states, stakeholders, civil society, and businesses to address key policies affecting climate change and environmental challenges.  

In concert with UNEA5, Canada’s new Climate Action in Africa (CAA) project hosted a local reception at the High Commissioner of Canada to Kenya’s residence highlighting how this five-year project aims to help support Sub-Saharan Africa address climate action. 

Funded by Global Affairs Canada, (CAA) will deploy experts providing short-term technical assistance on a demand-driven basis.  CAA will be implemented by Alinea International in partnership with Econoler and WSP and responds to climate change across four pillars: Climate Change Governance Capacity, Climate Change Mitigation, Climate Change Adaptation and Women’s Participation and leadership in Climate Action.  

“The project is unique in that it provides support, mostly up to the value of $300,0000 per engagement, to a variety of organizations,” explained CAA Project Manager, Gioconda Ortega Alarie. “Not just government, but also non-governmental organizations, academia and even the private sector.” 

High Commissioner of Canada to Kenya, David Da Silva, hoste a local reception for Climate Action in Africa at the High Commissioner’s residence

Support provided by CAA will be demand-driven and based on support identified at the local level. The application process was created to focus on rapid mobilization to ensure that support is timely and relevant. Engagements are required to align with government policies and strategies under the Paris Agreement but there are no government approvals or endorsements required.  

“Overall, the CAA project will catalyse climate action by those countries, organizations and communities on the frontline of implementation of the Paris Agreement in Sub-Saharan Africa.” 

In addition to providing technical assistance, CAA will facilitate South-South collaboration which will focus on learning and exchanging experiences across the continent of Africa.  

L’action climatique du Canada en Afrique soutiendra l’action climatique en Afrique sub-saharienne.

En mars, la cinquième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement s’est réunie à Nairobi. Elle a rassemblé les États membres, les parties prenantes, la société civile et les entreprises afin d’aborder les principales politiques touchant le changement climatique et les défis environnementaux.

Dans le cadre de la cinquième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement, le nouveau projet canadien Action Climatique en Afrique (ACA) a organisé une réception locale à la résidence du Haut-commissaire du Canada au Kenya pour souligner comment ce projet quinquennal vise à aider l’Afrique subsaharienne à prendre des mesures en faveur du climat.

Financé par Affaires mondiales Canada, (ACA) déploiera des experts qui fourniront une assistance technique à court terme en fonction de la demande.  L’ACA sera mis en œuvre par Alinea International en partenariat avec Econoler et WSP et répondra aux changements climatiques à travers quatre piliers : La capacité de gouvernance du changement climatique, l’atténuation du changement climatique, l’adaptation au changement climatique et la participation et le leadership des femmes dans l’action climatique.

L’équipe de projet sur l’Action Climatique en Afrique a participé à l’UNEA5 à Nairobi, Kenya.

“Le projet est unique en ce sens qu’il fournit un soutien, la plupart du temps jusqu’à une valeur de 300 000 $ par engagement, à une variété d’organisations “, explique Gioconda Ortega Alarie, gestionnaire de projet de l’ACA. “Pas seulement le gouvernement, mais aussi des organisations non gouvernementales, des universités et même le secteur privé.”

Le soutien fourni par l’ACA sera axé sur la demande et basé sur le soutien identifié au niveau local. Le processus de demande a été créé pour se concentrer sur une mobilisation rapide afin de garantir que le soutien est opportun et pertinent. Les engagements doivent s’aligner sur les politiques et stratégies gouvernementales dans le cadre de l’Accord de Paris, mais il n’y a pas d’approbations ou d’endossements gouvernementaux requis.

“Globalement, le projet ACA catalysera l’action climatique des pays, organisations et communautés en première ligne de la mise en œuvre de l’Accord de Paris en Afrique subsaharienne.”

En plus de fournir une assistance technique, le ACA facilitera la collaboration Sud-Sud qui se concentrera sur l’apprentissage et l’échange d’expériences à travers le continent africain.